Même l’usine de montage de la marque française Renault “a commencé uniquement maintenant à intégrer certaines pièces fabriquées localement”, a-t-il ajouté dans ce cadre.
“Si le montage automobile n’aboutit pas, d’ici 3 ou 4 ans conformément au cahier de charges, à la réalisation d’une intégration d’au moins 40% , à la création de postes d’emploi et à la fabrication de pièces algériennes, il n’y aura pas de montage automobile”, a poursuivi le Président de la République.
Interrogé sur les véhicules importés actuellement par des particuliers, le chef de l’Etat a rappelé que “l’importation de véhicules par les particuliers avec leurs propres moyens n’est pas interdite par la loi à condition de s’acquitter des droits douaniers et des taxes appliquées dans ce domaine”.